Le nombre de visiteurs indiquées représentent toutes les chiffres qui a été annoncé et saisie pour ce film depuis la date des sortie.
Marc Bordure
Gilles Taurand
Syrus Shahidi
Grégoire Leprince-Ringuet
Simon Abkarian
Depuis le 1.1.2013, la "Commission nationale du film et de la protection des mineurs" fixe des âges d’admission pour tous les films faisant l’objet de projections publiques dans des cinémas. L’"âge légal" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge ne subisse pas de dommage en visionnant le film. Un enfant/adolescent qui a atteint cet âge est admis seul. L’âge légal peut être abaissé de max. 2 ans pour les enfants/adolescents accompagnés d’une personne détentrice de l’autorité parentale (p.ex. avec un âge légal de 10 ans, un enfant de 10 ans est admis seul; un enfant de 8 ans est admis accompagné d’une personne détenant l’autorité parentale).
L’"âge recommandé" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge comprenne le film.
Pour tout complément d’information: filmrating.ch
CONTENU
BERLIN 1921, Talaat Pacha, principal responsable du génocide Arménien est exécuté dans la rue par Soghomon Thelirian dont la famille a été entièrement exterminée. Lors de son procès, il témoigne du premier génocide du 20ème siècle, tant et si bien que le jury populaire l’acquitte.
SOIXANTE ANS PLUS TARD, Aram, jeune marseillais d’origine arménienne, fait sauter à Paris la voiture de l’ambassadeur de Turquie. Gilles Tessier, un jeune cycliste qui passait là par hasard, est gravement blessé.
Aram, en fuite, rejoint l’Armée de libération de l’Arménie à Beyrouth, foyer de la révolution internationale dans les années 80. Avec ses camarades, jeunes arméniens du monde entier, il pense qu’il faut recourir à la lutte armée pour que le génocide soit reconnu et que la terre de leurs grands-parents leur soit rendue.
Gilles, qui a perdu l’usage de ses jambes dans l’attentat, voit sa vie brisée. Il ne savait même pas que l’Arménie existait lorsqu’Anouch, la mère d’Aram, fait irruption dans sa chambre d’hôpital pour lui demander pardon au nom du peuple arménien et lui avouer que c’est son propre fils qui a posé la bombe.
Pendant qu’à Paris Gilles cherche à comprendre et qu’à Marseille Anouch est folle de douleur, Aram entre en dissidence à Beyrouth… jusqu’au jour où il accepte de rencontrer sa victime pour en faire son porte-parole.
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