Le nombre de visiteurs indiquées représentent toutes les chiffres qui a été annoncé et saisie pour ce film depuis la date des sortie.
Elma Tataragić
Adnan Omerović
Labina Mitevska
Ana Kostovska
Depuis le 1.1.2013, la "Commission nationale du film et de la protection des mineurs" fixe des âges d’admission pour tous les films faisant l’objet de projections publiques dans des cinémas. L’"âge légal" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge ne subisse pas de dommage en visionnant le film. Un enfant/adolescent qui a atteint cet âge est admis seul. L’âge légal peut être abaissé de max. 2 ans pour les enfants/adolescents accompagnés d’une personne détentrice de l’autorité parentale (p.ex. avec un âge légal de 10 ans, un enfant de 10 ans est admis seul; un enfant de 8 ans est admis accompagné d’une personne détenant l’autorité parentale).
L’"âge recommandé" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge comprenne le film.
Pour tout complément d’information: filmrating.ch
CONTENU
Arrivée dans un grand bâtiment au style impersonnel, Asja est accueillie par Marta et Mersiha, cordiales animatrices habillées en robes léopard. Comme les autres prétendantes et prétendants, Asja doit revêtir une blouse rose pâle et prendre place dans une salle de conférence malicieusement nommée le Salon Zurich, à une table pour deux. Elle rencontre Zoran, maigre quadragénaire, et les animatrices lancent une série de questions sur la vie, les hobbys et la religion, auxquelles chaque couple doit répondre pour apprendre à se connaître. Avec le concours d’actrices et acteurs d’une justesse rare, Teona Strugar Mitevska nous immerge ainsi dans un microcosme de la société bosnienne actuelle, dont elle fait miroiter le passé dramatique. Grâce à une mise en scène toujours en mouvement guidée par les interactions de ses personnages et leur immédiateté, la cinéaste fait imploser son assemblée d’âmes esseulées à mesure que ressurgissent les traumatismes, en faisant preuve d’une ironie qui permet la bonne distance et n’empêche jamais l’émotion.
IMAGES






© trigon-film