Le nombre de visiteurs indiquées représentent toutes les chiffres qui a été annoncé et saisie pour ce film depuis la date des sortie.
Nicolas Altmayer
Sacha Galperine
Denis Ménochet
Swann Arlaud
Éric Caravaca
Josiane Balasko
Depuis le 1.1.2013, la "Commission nationale du film et de la protection des mineurs" fixe des âges d’admission pour tous les films faisant l’objet de projections publiques dans des cinémas. L’"âge légal" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge ne subisse pas de dommage en visionnant le film. Un enfant/adolescent qui a atteint cet âge est admis seul. L’âge légal peut être abaissé de max. 2 ans pour les enfants/adolescents accompagnés d’une personne détentrice de l’autorité parentale (p.ex. avec un âge légal de 10 ans, un enfant de 10 ans est admis seul; un enfant de 8 ans est admis accompagné d’une personne détenant l’autorité parentale).
L’"âge recommandé" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge comprenne le film.
Pour tout complément d’information: filmrating.ch
CONTENU
Ils sont courageux, intelligents et se battent avec beaucoup de détermination et d’imagination pour leur cause. Parmi eux, Alexandre qui conjugue vie de famille épanouie et réussite professionnelle. Un jour, il découvre par hasard que le prêtre qui a abusé de lui quand il était petit garçon officie toujours auprès d’enfants. Toutes ses démarches pour le démettre de ses fonctions restent vaines : l’Eglise ne fera rien. C’est seulement quand d’autres personnes touchées rejoignent Alexandre, brisent le sceau du silence et se concertent pour planifier leur action que le vent commence à tourner…
François Ozon est un réalisateur aux divers talents qui varie les genres avec bonheur. Sa filmographie comprend des comédies jubilatoires comme « Potiche », des drames poignants comme « Frantz » ou des polars haletants comme « Dans la maison ». Jamais à court d’idées surprenantes, il s’est inspiré pour son nouveau film d’un fait réel : le cas du prêtre Preynat, qui occupe actuellement tant la justice que les médias en France. Ozon n’a pas l’Eglise en tant qu’institution dans son viseur, il se focalise plutôt sur la perspective des victimes. « Grâce à Dieu » est un film émouvant aux multiples facettes et magnifiquement interprété, qui montre comment faire bouger un système ankylosé : en collectif, avec du courage et de la force.
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