No Man's Zone

trigon-film

TITRES
Originale
No Man's Zone
deutsch
Niemandszone
français
italiano
No Man's Zone - Mujin chitai

DATES DE SORTIES
Suisse
20.06.2012
Suisse alémanique
06.09.2012
Suisse romande
20.06.2012
Tessin
22.06.2012
NOMBRE DE SPECTATEURS

Le nombre de visiteurs indiquées représentent toutes les chiffres qui a été annoncé et saisie pour ce film depuis la date des sortie.

Suisse
479
Suisse alémanique
236
Suisse romande
243
Tessin

CAST & CREW
Réalisation
Fujiwara Toshi
Producteur
Valerie-Anne Christen
Scénario
Fujiwara Toshi
Musique
Barre Philipps
Acteurs
Documentary
ÂGE D'ADMISSION

Depuis le 1.1.2013, la "Commission nationale du film et de la protection des mineurs" fixe des âges d’admission pour tous les films faisant l’objet de projections publiques dans des cinémas. L’"âge légal" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge ne subisse pas de dommage en visionnant le film. Un enfant/adolescent qui a atteint cet âge est admis seul. L’âge légal peut être abaissé de max. 2 ans pour les enfants/adolescents accompagnés d’une personne détentrice de l’autorité parentale (p.ex. avec un âge légal de 10 ans, un enfant de 10 ans est admis seul; un enfant de 8 ans est admis accompagné d’une personne détenant l’autorité parentale).
L’"âge recommandé" est fixé de manière à ce qu’un enfant/adolescent de cet âge comprenne le film.
Pour tout complément d’information: filmrating.ch

Âge légal
Non classé
Âge suggéré
Non classé
Canton GE
16 (16)
Canton ZH
E

CONTENU

Fukushima. Un nom célèbre dans le monde entier après le 11 mars 2011, où la côte nord-est de l’île d’Honshu fut secouée par un séisme, puis submergée par un tsunami. C’est aussi la centrale nucléaire qui a subit des dommages équivalents à ceux de Tchernobyl. Quelques mois plus tard, le documentariste japonais Toshi Fujiwara s’est rendu sur place, dans la zone d’exclusion, la No Man’s Zone.

Des rues couvertes de gravats, des bateaux échoués loin du rivage... et le silence. L’impact d’un tsunami est bien visible avec ses dégâts spectaculaires. Puis, plus rien. Ou plutôt un panorama champêtre avec un arbre en fleurs majestueux attestant de l’arrivée du printemps. Les suites les plus dramatiques du tsunami sont invisibles. Une voix neutre, où pointe pourtant une certaine émotion, nous en parle. Nous sommes dans la zone d’exclusion de la centrale nucléaire qui a cessé de fonctionner, lâchant dans l’atmosphère une énorme quantité de particules radioactives. Une zone interdite où nous rencontrons des gens qui essaient de sauver leur maison, ou qui simplement refusent de quitter leur foyer pour l’inconnu, organisé par un gouvernement dépassé par l’ampleur de la catastrophe, réagissant sans logique apparente, incapable d’informer correctement les populations, ballottées entre centres de réfugiés et hôtels, qui ne savent pas quand elles pourront retourner chez elles. Fujiwara ne dénonce pas, tel un Stalker – allusion pertinente d’un critique japonais au film de Tarkovski – il nous guide dans les recoins de cette zone interdite. No Man’s Zone nous propose et nous invite ainsi à une réflexion sur notre rapport à l’image et notre dépendance vis-à-vis d’elles.


IMAGES


© trigon-film

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